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La colère des neiges

La colère des neiges

6-8 ans - 11 pages, 512 mots | 6 minutes de lecture | © Le Regard Sonore, pour la 1ère édition - tous droits réservés


La colère des neiges

La colère des neiges

Moko et Alarick ont repris le chemin du village, leur bateau rempli de poissons. Ils accostent et commencent à marcher. Au détour de la montagne blanche, ils aperçoivent enfin le village. Moko se met à crier de joie, rompant le silence de la montagne. C’est alors qu’un nuage de neige apparaît, descendant le flanc à la vitesse d’un cheval. Alarick et Moko se réfugient sous un gros rocher. L’avalanche fait trembler sa colère. Alarick implore à la montagne de pardonner Moko… puis le calme revient. Moko promet de garder le silence et remercie son ami d’avoir su parler à la montagne.

"La colère des neiges" vous est proposé à la lecture version illustrée, ou à écouter en version audio racontée par des conteurs et conteuses. En bonus, grâce à notre module de lecture, nous vous proposons pour cette histoire comme pour l’ensemble des contes et histoires une aide à la lecture ainsi que des outils pour une version adaptée aux enfants dyslexiques.
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Extrait du livre La colère des neiges

La colère des neiges Un conte de Arnaud de Buchy Module pédagique par Emmanuelle Reyss & Jean-Baptiste Lorenzo Illustrations Sonia Grandame & Joachim Hérissé Editions Le Regard Sonore


Ce matin-là, Alarik et Moko avaient décidé de reprendre la route du village. Le temps était paisible et le bateau, rempli de bons poissons, glissait sur les vagues. Ils accostèrent près des rochers à l’endroit même où ils avaient trouvé la barque.
Ils se mirent en marche. Leur bagage était lourd. Le froid cinglait leur visage, leurs bras et leurs jambes s’engourdissaient peu à peu, ils se mirent à ralentir. - « Nous devrions nous arrêter pour nous reposer ! dit Moko. - « Non, répondit Alarik. Sinon, le froid nous emportera et nous ne reverrons jamais le village.
'Moko commençait à se décourager. Au détour de la grande montagne blanche, ils aperçurent le village. - « Hourra ! » Cria Moko aussi fort qu’il le put.